Les 5 faits du vendredi

C'est vendredi, on ne se casse pas le coco, allons-y de faits disparates et sans ordre (et probablement sans importance) au sujet de ma semaine.

.: Un :.

Je suis allée trois fois à l'Université cette semaine.

Trois fois! 

Je n'ose pas imaginer ce qu'il en serait si j'étais inscrite à la maîtrise à temps plein!

Je dois refaire le plein de billets d'autobus, parce que le stationnement là-bas coûte la peau des fesses. Au moins, cet après-midi, j'ai déniché un stationnement gratuit de 15 minutes que j'ai utilisé pendant 45 minutes. Ha!

L'un des deux cours que j'ai choisis demande plus d'implication que ce que je croyais. En plus des lectures et de ma présence en classe, évidemment (je suis une étudiante modèle), je devrai suivre un élève qui a des difficultés en écriture, faire des interventions auprès de ce dernier, filmer le tout, composer mon travail de session au sujet de mes démarches, puis animer un séminaire. Yeah.

On est décidément très loin des cours de baccalauréat. C'est correct, c'est ce que je recherchais intellectuellement. 

.: Deux :.

Je suis un peu grandement exaspérée par la suppléance cette semaine (en fait, par la suppléance depuis le début de cette année scolaire, devrais-je dire) .

Je me fais constamment appeler à la dernière minute par les secrétaires. Et quand je dis à la dernière minute, je n'exagère même pas d'un iota.

Tout à l'heure, à 14h30, je reçois un appel pour aller remplacer pour la dernière période. Figurez-vous que la dernière période à ladite école commence à 15h.

J'ai l'impression qu'on rit de moi...

Je n'ai pas encore développé suffisamment mon don de téléportation pour me rendre dans les écoles en moins de deux, donc j'ai refusé. D'autant plus que j'étais à l'Université pour rencontrer ma directrice de mémoire pour discuter d'un cours. Et soit dit en passant, elle n'était même pas là, elle qui m'avait dit, la veille, de me présenter à son bureau le lendemain après-midi. Pfft.

Avez-vous vu cette publicité de Farmaprix? Je la ris chaque fois que je la regarde.

Ah les joies de la suppléance!

.: Trois :.

Pour en revenir à ma charge de travail à l'Université, j'ai constaté bien vite que je ne peux plus vraiment me permettre de travailler les fins de semaine.

Je devrai survivre grâce à la suppléance, me serrer un peu la ceinture (i.e. ne plus dépenser mes bidous dans les vêtements) et me dire que dans un an ou deux, j'aurai plus de chances d'obtenir un contrat (peut-être même un poste?) grâce à ma maîtrise. 

P.S. Si vous avez pitié de moi, vous pouvez cliquer sur les publicités maintenant visibles sur mon blogue. Ainsi, Google Ads me versera une cenne par jour. Yé.

(Même avec une cent je ne peux m'acheter de gomme Bazooka!)

.: Quatre :.

Un énorme pichet de jus frais maison, rien ne bat cela.

J'ai utilisé sensiblement les mêmes ingrédients que la dernière fois, sauf que j'ai pensé à ajouter des feuilles fraîches de coriandre et que j'ai mis davantage de carottes dans mon extracteur à jus.

Quel beau jus, n'est-ce pas?

La pulpe des fruits et des légumes est en train de se faire dorer la couenne dans mon déshydrateur sous forme de craquelins.

Pas de gaspillage sous mon toit!

.: Cinq :.

C'est hier que j'ai à nouveau compris pourquoi j'avais arrêté de cuisiner mon meilleur granola au monde. Dès sa sortie du four, la moitié a disparu.

Pouf! Comme ça, sans crier gare. 

L'exagération? Connais pas.

.: Six :.

Six? Je ne sais plus compter.

Mon corps a compris cette semaine que s'entraîner quatre fois par semaine au Taekwondo, c'est dur.

Heureusement que le yoga existe.

Cette semaine, j'étais assez motivée pour faire deux séances de yoga.

Et seule. Et dans mon salon.

Merci, Youtube.

(J'adore cette instructrice de yoga. Les séances proposées sont très exigeantes.)

Je conclus mon babillage décousu en vous demandant de me partager vos 5 (plus ou moins) faits du vendredi.

Bonne fin de semaine!